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Masses d’air actives Les perturbations sont dangereuses pour la structure de l’avion et peuvent le faire dériver et tanguer (axes de roulis et de tangage). De plus il y a un risque de rencontre avec des orages orographiques, et avec l’apparition de brume risque de givre ; tout cela conduit à un atterrissage délicat. Le givrage Le givrage entraîne un alourdissement de l’avion, une déformation du profil aérodynamique et donc une diminution de la portance et une augmentation de la traînée, ce gèle obstrue les capteurs ce qui met hors service les instruments de vol, de plus il bloque les commandes et donc entraîne une réduction de rendement hélice et apparition de vibrations dangereuses pour la structure de l’avion. Ces vibrations font apparaîtrent une baisse de puissance du moteur. Pour les pilotes volant en I.F.R (vol à vue) le givrage est un de leur pire ennemi car il givre les vitres de l’avion, interdisant la visibilité à l’extérieur. Cumulonimbus et orages (orage d’origine thermique, orographique ou frontale. Cumulonimbus visibles ou cachés dans la masse de nuage) Les cumulonimbus étants des nuages instables sont à l’origine de perturbations convectives dangereuses pour la structure de l’avion et pour son contrôle en vol. En altitude ces perturbations créent des rafales verticales rendant l’avion instable au niveau du roulis et du tangage (axes de l’avion), au sol les rafales sont aussi présentes et rendent l’atterrissage impossible sans risque de retournement. Cas très rare l’appareil peut être foudroyé et le pilote ébloui. Dû aux orages orographique le compas magnétique se dérègle et les appareils de radio et radionavigation rendent les collisions inévitables. De plus la grêle présente dans les cumulonimbus détériore l’avion. Nuage bas Les stratus et les nuages orographiques sont dangereux pour la navigation car ils s’attachent au relief rendant les obstacles (montagnes, poteaux) non visibles et par conséquent augmente les risques de collisions. Brumes et brouillards
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